Il se faisait tard
Durant la mort éphémère de la lumière,
J'enfourchai la monture lumineuse
D'un chevalier défunt,
Cortèges de nuages au-dessus de ma tête,
Ruisseaux purs,
Grottes et vallées à ma porte
Et sous me pieds
Le frisson de toutes les collines.
Quelle belle illusion !
Danser dans l'extase
Ouvrir les portes du monde
Et voir la lune se fendre...
Benoît Moraillon: Une Enfance Dans La Lune |
No hay comentarios.:
Publicar un comentario